jeudi 20 mai 2010

Une poupée












2010

10 commentaires:

  1. Je trouve que tu as vraiment bien développé ta pratique cette année, ton univers s'est émancipé et est de plus en plus poétique. J'aime beaucoup cette idée de créer de la poésie avec trois fois rien.

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  2. je suis tout d'accord avec Kevin

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  3. Merci les garçons, vous êtes bien aimables !
    En ce moment j'ai envie de donner des coups de marteau dans mes têtes de bébé en plâtre que j'avais faite à l'atelier moulage... Une pulsion que je vais assouvir c'est sûr, donc affaire à suivre ! hin hin hin

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  4. Hello CamDoll !
    Je t' ai déjà dit tout le bien que je pensais de ton travail avec les poupées sur BDgest.
    Cette dernière série est très belle et dégage une athmosphère étrange, pleine de poésie bien sur mais angoissante et fascinante à la fois !
    En commençant par le haut, la troisième ( mais dommage la partie à droite de la tête ) et la dernière photo sont mes préférées.Bravo encore !
    Francis

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  5. Merci Francis pour ton commentaire ! Oui la 3ème se détache des autres, c'est une de mes préférées aussi, justement à cause de cette "partie" verte ! ^^

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  6. Je ne sais pas pourquoi mais cette série me fait penser à L'Ophélie noyée d'Everet Millais, j'imagine bien tes photos présentées à l'horizontal. Et puis ces boyaux de poupée ça a quelque chose de floral, comme dans la peinture où Ophélie est entourée de roseaux et de fleurs ^^ Encore l'illustration d'un drame, et shakespearien en plus, quelle poésie ! ;-)

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  7. Bien vu Olivia ! C'est un peu ce que m'évoque une poupée en soit, à la fois immobile et en mouvement, inerte et vivante, entre vie et mort. Le tableau Ophélie noyée est une très bonne référence, elle est morte flottant sur l'eau, mais les yeux et la bouche entre ouverts, les bras ouverts aussi, et le tout dans un décor plutôt bucolique ! Troublant tableau oui...
    Pour cette série, dans un autre style, je fais aussi référence au photo de Cyndi Sherman. Elle se grime tellement et traite ses photos de telle manière qu'il se dégage quelque chose d'artificiel, d'étrange, comme une poupée...

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  8. C'est beau et ça fait peur. Le visage fragile et parfait de la poupée contraste avec son corps déchirée, on dirait qu'elle se laisse torturer paisiblement
    Emmanuelle

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  9. C'est exactement ça Emmanuelle, une poupée est toujours soumise à la volonté de son manipulateur et quelque soit les choses qu'on lui fasse subir, son expression reste figée et demeure muette.

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  10. Hello, Cam'! J'étais déjà venu jeter un œil de verre sur ton univers, mais sans y laisser de commentaires (à moins que ma mémoire faillible ne me fasse à nouveau défaut...). Alors bien sûr, tu sais que j'aime ton boulot pour tout ce que tu as déjà présenté sur bdgest, mais là, le voir sur ces pages renforce encore leur esthétique. Ton blog est une merveille! Et j'adore ta bannière: Wouaw! Ça a une de ces classe! Continue!

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